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STOP et NON AUX HYDROCARBURES DE SCHISTES ! (agglutination)

Gaz et pétrole de schiste : En Allemagne interdiction en trompe l’œil de la fracturation hydraulique

(!) Info minute – Revue de Presse La presse se fait le relai d’une « interdiction de la fracturation hydraulique » en Allemagne. Ceci pourrait être une bonne nouvelle si cette interdiction était totale. Or ce que s’apprête à voter le Bundestag ressemble à s’y méprendre à l’ « interdiction » de la fracturation hydraulique en France. On interdit mais […]

Pourquoi il ne faut pas renoncer au gaz de schiste américain - LeGazdeSchiste

Google actu "Schiste" - Mié, 22/06/2016 - 08:10

LeGazdeSchiste

Pourquoi il ne faut pas renoncer au gaz de schiste américain
LeGazdeSchiste
Ségolène Royal s'est montrée ferme quant aux premières importations du GNL américain contenant du gaz de schiste en déclarant qu'elle allait examiner les voies de recours juridique pour permettre son interdiction. Parallèlement, la ministre de l ...

(Lorraine)Gaz de mine, gaz de couche : conflit dans le sous-sol minier

Gaz de Schistes Provence - Dom, 19/06/2016 - 09:47

Gaz de mine, gaz de couche : conflit dans le sous-sol minier

Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 19/06/2016 – Mis à jour le 19/06/2016 à 08:44

PAR BERNARD VIREL

  Le sous-sol, notamment nordiste, et ses réserves en énergie n’en finissent plus d’attiser les convoitises et les méfiances. Aujourd’hui, les écologistes pointent du doigt la Française de l’énergie qui débarque en Bourse. Mais qu’en est-il réellement ?

 

Pour l’instant, Gazonor explore et exploite le gaz de mine à Lourches et à Divion-Avion (ci-dessus). Et a par ailleurs deux permis de recherche dans la région. Ph. P. Bonnière

Lire aussi

Pourquoi l’entrée en Bourse de la Française de l’énergie inquiète-t-elle les écolos ?

Ce sont Dominique Plancke, pour les Verts, Christine Poilly et Pierre Rose, membres du collectif Houille-ouille-ouille-5962, qui tirent la sonnette d’alarme : la Française de l’énergie, un des leaders français dans l’évaluation et l’exploration des ressources gazières, entre en Bourse avec l’ambition de lever 70 M€.

Pour les écologistes, il est clair que cette société lorraine veut avoir les moyens d’exploiter le sous-sol du Nord et notamment le gaz de couche. Au passage, cela lui permettrait « d’absorber Gazonor (ex-filiale de Charbonnages de France) » qui détient les titres miniers qui permettent d’exploiter et d’explorer les gisements (même éventuels) de la région.

Où en sont les sites de la région ?

Actuellement, deux sites sont exploités et produisent du gaz de mine (qui, lui, ne pose pas de problèmes) : ceux de Lourches, dans le Valenciennois, et de Divion-Avion, dans l’ex-bassin minier. Par ailleurs, deux permis d’exploration (seulement) ont été accordés à Gazonor pour le gaz de mine et de couche, dans le Valenciennois, mais aussi pour la région dans son ensemble. Selon la préfecture, les ressources en gaz de couche « équivaudraient à douze années de consommation de gaz en Nord – Pas-de-Calais ». Tout en ajoutant : « Il s’agit d’estimations qui devront être vérifiées par des forages d’exploration et des tests de production. »

On imagine aisément l’attrait que représentent ces gisements. Alors que Dominique Plancke, pour les écolos, oppose une tout autre vision : « La page du charbon est tournée, on en voit encore les conséquences sur l’environnement. Il faut arrêter, pour des raisons financières, d’épuiser la moindre ressource du sous-sol. C’est vraiment de l’acharnement. »

Mais il est où, le problème ?

Le problème, si l’on peut dire, est la menace d’une éventuelle mise en place de la fracturation hydraulique pour l’instant interdite par une loi du 13 juillet 2011. Pour Dominique Plancke, il n’y aurait pas, pour l’exploitant, d’autre solution que la fracturation qui pourrait d’ailleurs un jour revenir dans le débat (certains élus, de droite comme de gauche, y pensent en tout cas). « Et même sans fracturation, il y aurait beaucoup de dégâts en exploitant le gaz de couche », souligne Christine Poilly.

Sans compter que pour Pierre Rose, ce serait aussi à terme la porte ouverte pour « l’exploitation du gaz de schiste », avec dans tous les cas des menaces sur les ressources en eau. Une vision que conteste la préfecture, soulignant – toujours en absence de fracturation hydraulique – « un impact a priori similaire à celui des autres types d’hydrocarbures conventionnels » sur l’environnement.

Divion-Avion et Lourches : pas de projets avant deux – trois ans

À propos des deux sites régionaux susceptibles de voir le gaz de couche exploité, Nicolas Ricquart, directeur de Gazonor, apporte la même réponse : « Nous n’avons pas de projets dans la région dans les deux – trois ans. » Reste à savoir comment tout cela évoluera en fonction des rapports avec la Française de l’Énergie.

Pour les écolos, le doute n’est pas permis, d’autant que des forages ont démarré en Lorraine pour exploiter justement le gaz de couche avec de maigres résultats, faute justement de pouvoir utiliser la fracturation hydraulique. « Rien qui soit économiquement exploitable », résume Dominique Plancke. Ce qui incite d’ailleurs le collectif Houille-ouille-ouille à appeler à une manifestation en Lorraine du 19 au 21 août pour « enterrer le gaz de couche et le gaz de schiste ».

Pour ce dernier, la France n’est jamais à un paradoxe près, car si le pays n’en produit pas, il en accueille avec l’arrivée annoncée à Dunkerque de gaz de schiste américain. Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, a annoncé vouloir examiner la manière dont il serait possible, à terme, d’interdire l’importation de ce type de gaz.

Pour s’y retrouver

– Le gaz de mine, exploité depuis 1992 dans la région, est du gaz présent dans les anciennes galeries des mines. Il est exploité par simple captage.

– Le gaz de couche est encore piégé dans les veines de charbon vierges. Il n’est pas encore exploité dans la région. Certains pensent qu’il faut en passer par la fracturation hydraulique, d’autres pas.

– Le gaz de schiste est du gaz contenu dans une roche qui présente un aspect feuilleté. La technique d’exploitation passe forcément par la fracturation hydraulique (interdite à ce jour).


Le gaz de schiste américain et la sécurité énergétique de l’europe — BASTA!GAZ ALES

Gaz de Schistes Provence - Sáb, 18/06/2016 - 21:34

Alors que l’Europe demeure dépendante du gaz russe, Ségolène Royal, ministre français de l’Environnement prétend interdire l’importation de gaz de schiste américain. Pourtant, ces importations auront un effet positif sur la diversification des approvisionnements en gaz de l’Europe et contribueront à sa sécurité énergétique. ⇒⇒⇒⇒

via Le gaz de schiste américain et la sécurité énergétique de l’europe — BASTA!GAZ ALES


Canada : plus de 90 % des séismes sont dus à la fracturation hydraulique pour exploiter les gaz de schiste — BASTA!GAZ ALES

Gaz de Schistes Provence - Sáb, 18/06/2016 - 21:34

La chute brutale des cours du gaz et du pétrole à priori favorable pour le portefeuille, a des conséquences notables pour les populations où la fracturation hydraulique est opérée. Ainsi, au Canada et aux États-Unis où elle est massivement employée, elle détériore l’environnement tout en engendrant des séismes.⇒⇒⇒⇒ Dans certaines régions, plus de 90 % […]

via Canada : plus de 90 % des séismes sont dus à la fracturation hydraulique pour exploiter les gaz de schiste — BASTA!GAZ ALES


ALUGEN : Le générateur d'hydrogène

COLLECTIF 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE - Sáb, 18/06/2016 - 14:12
L' ALUGEN, générateur d'hydrogène

L' ALUGEN génère de l'hydrogène à la demande à partir d'eau et grâce à l'aluminium car celui ci a la capacité de casser la molécule d'eau. L' aluminium et l'eau sont donc un énorme réservoir d'énergie.
L' ALUGEN permet donc le stockage et la création de l'énergie utilisable à volonté.

L' ALUGEN comprend un générateur et un réservoir qui mélange la soude à l'eau pour obtenir la bonne solution de soude caustique (entre 100g et 300g par litre).

L' ALUGEN est un générateur d' hydrogène embarqué inventé et breveté par Gérard Montel, un ardéchois artisan et inventeur depuis plus de 30 ans.

Le générateur est une cuve fermée hermétiquement ayant en son milieu un panier (boite) en inox percé contenant des plaques d'aluminium.
Lorsque l'aluminium est entièrement dissout, il est transformé entièrement en aluminate de sodium. Il suffit alors de changer le panier.
Lorsque la soude caustique arrive en contact avec l'aluminium, il se produit une réaction produisant de l'hydrogène. Lorsque suffisamment d'hydrogène repousse la soude caustique vers le bas, la réaction s'arrête.

Tout le monde sait et pense qu'il n'y a que l' électrolyse pour générer de l' hydrogène soit dépenser plus d' énergie que d' énergie récoltée. Mais l' Alugene démontre qu'on peut faire de l 'hydrogène plus simplement par mise en contact de deux éléments courants l' aluminium et la soude tout en récupérant un élément utile l' aluminate de sodium.

* Presentation de l' Alugen
* Pour ceux que cela intéresse : techniquement comment ça marche ? Lire l'article complet sur https://fr.ulule.com/projet-lindberg/

LE VÉLO À HYDROGÈNE

L' Alugene qui servira à réaliser le très médiatique tour de France est déjà construit sur la remorque qui sera tiré par un vélo électrique à hydrogène d'un constructeur.

Cet Alugene fonctionne à 10 bars de pression et a été testé jusqu' à 20 bars permettant de penser qu'on pourra créer des Alugenes personnels à 200 bars et plus
afin de remplir ses propres cartouches d' hydrogène à des usages divers : vélos, voitures, chauffages, générateurs d' électricité, poste à souder.

Le dernier modèle réalisé avec 2 autoclaves de 20 litres permet de créer 5 litres d' hydrogène à la minute pendant 3 jours de 24 heures soit 1Kwh pendant 3 jours pleins et pourrait permettre à un vélo à hydrogène comme il en existe de rouler électrique pendant 3000 kms soit un tour de France

Le tour de France 2016 sera sans doute une première étape, médiatique du projet.

Ce modèle est visible sur You Tube
et sur Facebooke

Le KTM Macina cross qui va faire le tour de France sans ravitaillement

LA VOITURE À HYDROGÈNE

Environ 20 fois ce prototype seront nécessaire à installer dans une voiture pour réaliser le projet Lindberg
Suivez les dernières avancées du projet sur www.tourneseul.fr - menu Lindberg

PROJET LINDBERG

Le projet Lindberg consiste à faire le tour des 28 pays d'Europe avec une voiture à hydrogène ravitaillée uniquement avec de l'eau, et ce grâce à l' ALUGEN, un générateur d' hydrogène embarqué inventé et breveté par Gérard Montel, un ardéchois artisan et inventeur depuis plus de 30 ans.

Seront d'abord réalisées de petites unités qui pourront servir de poste à souder ou de chauffage très écologiques et économiques pour lesquels nous avons remarqué une forte demande.
Puis l'aboutissement sera un modèle de grande dimension pour pouvoir faire rouler une voiture.
Les différents modèles seront équipés de capteurs de température, de pression et de niveau permettant une utilisation en toute sécurité.

L' ALUGEN construit par une entreprise spécialisée fera rouler une voiture style Hyundai ou Toyota à moteur électrique et pile à combustible.
L'ALUGEN devra être capable de produire entre 150 et 200 litres à la minute de manière à fournir, à la demande, ce qui est nécessaire pour rouler et pas davantage.
L'ALUGEN aura une taille de 1m x 1m sur une hauteur de 0,40m et aura un réservoir de fabrication des soudes caustiques un peu plus grand.

A QUOI VA SERVIR LE FINANCEMENT ?

La collecte servira à construire un ALUGEN 1500 fois plus grand que les petits prototypes déjà testés et 20 fois plus grand que le dernier prototype réalisé.
Ceux ci produisent environ 1 litre d' hydrogène en 10 minutes, le dernier 5 litres à la minute.
La collecte servira de plus à financer une partie du voyage.

La collecte a d'ors et déjà rapportée plus de 10.000 euros de financement pour le projet et Gérard Montel compte profiter de l'aide de sociétés liées à la filière hydrogène: : vehicules et chauffages, ainsi que celles qui voudront s'investir dans le projet.

LES ALTERNATIVES AUX ÉNERGIES FOSSILES

Note du Collectif 07 SGHDS

La production d'hydrogène, ou plus exactement de dihydrogène, peut s'obtenir par différents procédés : extraction chimique d'hydrocarbures fossiles., extraction de l'eau via la production biologique par des algues, par électrolyse, par réduction chimique, par thermolyse ...

Certains de ces procédés sont très hautement polluants avec un bilan écologique et énergétique très mauvais alors que d'autres pourraient peut-être bien entrer dans le cadre des solutions d'avenir en faisant appel à des sources d'énergies renouvelables comme source d'énergie pour la production d'hydrogène.

Le problème est aussi la matière première, les quantités nécessaires et son extraction. Ici l'aluminium. Le bilan écologique et énergétique de la production d'aluminium sera t il suffisamment bon pour être acceptable ?
L'alu est très répandu sur terre, mais jamais pur. Pour l'obtenir on part en général de la bauxite mais cela engendre une consommation importante d'énergie, d'importantes émissions de CO2 et des rejets de boues rouges toxiques comme à Gardanne avec les rejets toxiques dans la Méditerranée. Lors de l'électrolyse, sont émis des gaz tels que du dioxyde de carbone(CO2), du monoxyde de carbone (CO), des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), et des fluorures gazeux."

L'hydrognène pourrait donc être une intéressante source d'énergie mais uniquement si le procédé de production possède un bilan écologique et énergétique correct.
Certains pays tels les USA ou le Japon, se donnent les moyens de la recherche en ce domaine.
Rapellons, sans entrer dans les détails, que les énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon, uranium ...) et le nucléaire sont d'ors et déjà condamnées tant par la raréfaction de ces ressources que par les pollutions qu'elles engendrent.

* McPhy Energy : un générateur d'hydrogène couplé à un stockage solide. La société française (Rhone-Alpes) McPhy développe une solution pour stocker de l'hydrogène sous une forme solide. Lire l'article

Rapport sur la toxicité des émissions atmosphériques près des champs gaziers

COLLECTIF 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE - Sáb, 18/06/2016 - 12:04
QUAND LE VENT SOUFFLE" :
RAPPORT DE SUIVI DES PRODUITS CHIMIQUES TOXIQUES DANS LES CHAMPS GAZIERS
ET IMPACTS SUR LES POPULATIONS CONCERNÉES.

La Clean Production Action du Royaume Uni avec le réseau Coming Clean des USA, vient de lancer un rapport sur la toxicité des émissions atmosphériques et des résultats de biosurveillance dans la communauté autour de la production de gaz dans Pavillion, Wyomilng USA.

Quand le vent souffle
"Quand le vent souffle" : rapport de suivi des produits chimiques toxiques dans les champs gaziers et impacts sur les populations concernées.
Ce lien contient le rapport, communiqué de presse, vidéos de la caméra FLIR de
émissions et plus encore

Le rapport contient les résultats de l'air et de la biosurveillance et l'évaluation des risques ainsi que les données concernant les produits chimiques émis par la production de gaz.
Le résultat est une compréhension plus complète de ce qui semble inévitable : les risques pour la santé associés à la production de gaz.

Selon ce rapport, le risque élevé des produits chimiques émis dans l'air, ainsi que les niveaux de certains métabolites de COV dans l'urine des personnes étudiées sont bien au-dessus des niveaux de la population générale. C'est un signal clair que les organismes gouvernementaux doivent agir maintenant pour protéger les gens qui vivent et travaillent dans la région de Pavillion et dans les champs de pétrole et de gaz partout aux États-Unis.

Ce rapport et ses conclusions auront un intérêt international pour toute communauté face à une nouvelle production de gaz, qu'elle soit conventionnelle ou non-conventionnels tellle que la fracturation hydraulique.
La production de gaz ne soulève pas seulement le problème du méthane : les condensats de gaz contiennent aussi une variété de composés organiques volatils dont beaucoup sont très dangereux pour la santé et l'environnement.

Une société britannique de fracking envisage de déverser les eaux usées dans la mer

COLLECTIF 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE - Sáb, 18/06/2016 - 11:33
UNE SOCIÉTÉ BRITANNIQUE DE FRACKING ENVISAGE DE DÉVERSER LES EAUX USÉES DANS LA MER

Les courriels de la société Inéos montrent qu'elle envisage le déversement d'eaux usées provenant de la fracturation hydraulique dans la mer.

Ineos, propriétaire de la raffinerie de Grangemouth et détient 21 licences de schiste, essentiellemet dans le nord-ouest, North Yorkshire et les Midlands-Est, a dit qu'elle veut devenir le plus grand acteur dans l'industrie naissante du gaz de schiste au Royaume-Uni.

Dans un courriel envoyé en mars à un résident dans le district Ryedale, North Yorkshire, où les conseillers ont donné en mai le feu vert au fracking par une autre société, un cadre supérieur a déclaré que l'eau produite lors de la fracturation hydraulique pourrait être déchargé dans la mer après avoir été traité. Il n'a pas dit où l'eau traitée serait libérée.

"Nous allons capturer et contenir ce flux de retour de fracking, le traiter de nouveau aux normes convenues ... avec l'Agence de l'environnement et, lorsque cela est autorisé, le décharger le plus probablement dans la mer », écrit Tom Pickering, directeur pour Ineos Shale, répondant aux préoccupations sur l'endroit où une telle « flowback " se ferait.

Les militants et les écologistes vivant à proximité des sites potentiels ont mis en évidence les impacts environnementaux potentiels de la fracturation hydraulique, comme la contamination des réserves d'eau, des tremblements mineurs et la pollution atmosphérique locale. Mais la question de savoir où les énormes quantités d'eaux usées résultant seront disposées a reçu moins d'attention.

Les entreprises de gaz de schiste pompent de l'eau, des produits chimiques et du sable à haute pression souterraine pour fracturer la roche de schiste et libérer le gaz à l'intérieur, mais chaque puits peut utiliser jusqu'à 6m gallons d'eau. Entre 20 et 40% des flux de retour à la surface, contenant des sels, des produits chimiques et de matières radioactives naturelles qui l'Agence de l'environnement (EA) dit est susceptible d'être classé comme déchet radioactif.

En vertu des règlements d'évaluation environnementale, l'eau doit être traitée sur place ou ailleurs dans une installation de traitement désigné, avant qu'un permis ne soit délivré pour la décharger. Ineos et le corps de commerce de l'industrie ont dit que toutes les eaux usées de fracturation hydraulique seraient traitée avant d'être éliminés.

Mark Ellis-Jones, directeur du programme de pétrole et de gaz à terre à l'EA projet, a déclaré en avril à un groupe parlementaire inter-partis : "Nous sommes convaincus que tous les déchets qui découlent du fracking seront gérées suffisamment et convenablement par nos permis environnementaux. "

Cependant, certains experts britanniques sont très préoccupés du le traitement des eaux usées de fracking.

Un rapport sur les impacts environnementaux de la technique par le Conseil de recherche sur l'environnement naturel l'an dernier a averti que : « Une grande incertitude, compte tenu de l'immaturité du développement pétrolier et gazier non conventionnel [ie schiste fracking de gaz] au Royaume-Uni, est de savoir comment les eaux usées seront produites et quels seront les mécanismes réglementaires et les techniques pour les traiter ou les réutiliser ".

Il a ajouté : « L'une des préoccupations les plus importantes pour le développement des ressources non conventionnelles est la gestion appropriée des flowback (fluxde retour) et de l'eau produite."

En Mars, l'Institution Chartered de l'eau et gestion de l'environnement, qui représente les professionnels de l'eau, a déclaré dans une réponse de consultation à l'EA que « nous sommes préoccupés par la capacité de traiter le fluide de reflux à l'heure actuelle".

Il a noté : « Les technologies de traitement avancées peuvent ne pas être en mesure de traiter les niveaux de solides dissous dans l'eau produite qui limiterait la capacité de traiter l'eau produite sur place. La dilution dans une usine de traitement peut être en mesure de réduire la salinité, mais elle peut ne pas être appropriée pour diluer au niveau requis pour diluer les radionucléides présents à des niveaux réglementaires. "

Il y a deux ans, l'entreprise de schiste Cuadrilla a retiré une demande de permis de fracking dans le Lancashire après que l'EA a durci les règles sur l'élimination sans danger. Le changement est venu après que 2m gallons d'eaux usées avaient déjà été rejetées dans le canal maritime de Manchester.

Le Dr Paul Johnston, de l'Unité de la science Greenpeace a fait valoir que la décharge « d'énormes quantités d'eau chargées en métaux et de la radioactivité et des constituants chimiques » en « milieux marins sensibles" est "un pas en arrière en matière de protection de l'environnement".

Mais l'industrie dit que l'eau pourrait être traités et éliminés en toute sécurité.

Ineos ne possède pas directement des plans pour l'immersion dans la mer, mais un porte-parole a déclaré : « Les eaux usées d'Ineos seront enfermées dans des réservoirs à double peau de stockage avant d'être recyclées. Un permis d'environnement de l'Agence de l'environnement ... sera nécessaire lorsque nous aurons besoin de disposer d'une autorisation de traitement d'eau selon un plan de gestion des déchets convenu. Nous utiliserons des entreprises agréées de traitement des eaux pour traiter nos eaux usées ".

Un porte-parole d'UK Onshore Oil and Gas, qui représente l'industrie du schiste, a déclaré : « Lors de la plase d'exploration, les opérateurs vont envoyer tout les fluide de refux dans des installations de traitement pour l'élimination sans danger autorisées par l'Agence de l'environnement ... Lorsque l'industrie déutera la production commerciale, elle voudra recycler les fluides de refux et lee réutiliser pour la prochaine étape de l'opération ".

Lire l'article sur The Gardian

Irlande du Nord : opposition aux gaz de schiste

COLLECTIF 07 STOP AU GAZ DE SCHISTE - Sáb, 18/06/2016 - 10:58
MANIFESTATION EN IRLANDE DU NORD

Commentant son arrestation pour avoir protesté pacifiquement contre les risques environnementaux liés à l'exploration de combustibles fossiles sur le site controversé de forage pétrolier à Woodburn Forest, Irlande du Nord, la directrice des Amis de la Terre d'Irlande du Nord a déclaré :

« J'agissais dans le cadre de la loi quand je me suis rendu sur le site de forage Woodburn Forêt, dimanche, pour soutenir la campagne anti-forage, et et j'ai été étonné d'être arrêté pour simplement affirmer qu'un droit de passage public a été utilisé par la communauté depuis des décennies.

"Je suis déterminé à combattre cette charge et je suis actuellement en discussion avec mon avocat. La société n'a pas le droit d'occuper et d'empêcher l'accès à ce droit de passage.

"Le forage pétrolier à Woodburn Forêt constituerait une menace réelle pour l'environnement local - y compris l'eau potable - et notre climat. Le fait d'ignorer que cela puisse continuer sans autorisation sape notre démocratie et les efforts pour mettre fin à notre dépendance aux combustibles fossiles détracteurs du climat.

Mike Childs, le directeur de campagne des Amis de la Terre Angleterre, Pays de Galles et de l'Irlande du Nord a déclaré :

"James Orr a notre plein soutien. La manifestation pacifique est une activité essentielle dans une démocratie, et beaucoup de nos droits et libertés ont résulté de cela dans le passé. Nous allons continuer à soutenir James et les militants de forage opposés à Woodburn Forêt ".

Lire l'article sur foe. co.uk

La société InfraStrata a achevé le forage d'exploration à Woodburn Forest dans le comté d'Antrim, Irlande du Nord sans rencontrer des réserves probantes d'hydrocarbures

D'autre part, InfraStrata plc (AIM : INFA), la société indépendante d'exploration de pétrole et de stockage de gaz, annonce que le forage a été achevé à Woodburn Forest dans le comté d'Antrim, Irlande du Nord.

Le puits a été foré à une profondeur de 2.000 mètres et a rencontré deux intervalles de réservoir de grès classiques, les Trias Sherwood et Permien inférieur Sandstones. l'analyse du journal Wireline a calculé porosités de plus de 20% les parties supérieures des deux Sherwood et Permien inférieur Sandstones mais les deux cibles étaient l'eau humide.

Le puits sera maintenant bouché et abandonné.

Andrew Hindle, PDG de InfraStrata dit :
Suite à la cession d'actifs d'exploration en fin d'année dernière cela reste notre seul projet d'exploration avec des coûts entièrement couverts par le puits.
La fin des activités liées au puits complétera les obligations du programme de travail sur la licence PL1 / 10. La licence est récemment entré dans sa deuxième mandat de cinq ans. Il est naturellement décevant de ne pas avoir rencontré une accumulation d'hydrocarbures et la joint-venture va maintenant évaluer pleinement les données collectées dans le puits et décider où concentrer son activité future d'exploration dans le bassin.
InfraStrata et ses partenaires du projet tiennent à remercier toutes les personnes impliquées dans les opérations pour leur travail acharné et leur dévouement. Nous allons maintenant travailler avec nos entrepreneurs locaux à restaurer professionnellement le site.

À VOS AGENDAS Le PS Bagnolais organise un débat sur le gaz de ... - Objectif Gard

Google actu "Schiste" - Vie, 17/06/2016 - 18:03

Objectif Gard

À VOS AGENDAS Le PS Bagnolais organise un débat sur le gaz de ...
Objectif Gard
De l'autre, le Gardois Fabrice Verdier, président du groupe d'études sur les gaz de schiste à l'Assemblée nationale, à l'initiative d'un vœu voté lors de la première session du Conseil régional en janvier pour s'opposer à l'exploration et l ...

et plus encore »

Exxon evacuates California processing plant workers amid wildfire

16.06.16.- 

Exxon Mobil says it has evacuated non-essential personnel from its Las Flores Canyon processing plant in southern California as a precaution against a fast-moving wildfire.

The fire broke out yesterday in the Refugio Canyon area of Santa Barbara county and has spread, charring ~1,100 acres; XOM’s facility is located ~15 miles from the city of Santa Barbara.

XOM also is taking precautionary measures to ensure the safety of personnel at its 149.5K bbl/day refinery in nearby Torrance.


isa77_Jouarre's insight:

un incendie en Californie, ExxonMobil qui évacue une partie de son personnel…



See it on Scoop.it, via schiste, huile, gaz et fracturation

Enquête sur les falsifications comptables des producteurs US d'huile ... - Sputnik France

Google actu "Schiste" - Jue, 16/06/2016 - 16:10

Sputnik France

Enquête sur les falsifications comptables des producteurs US d'huile ...
Sputnik France
Ultra Petroleum Corp fait partie des compagnies les plus connues aux USA dans le secteur pétrolier. En plein boom de schiste en 2012, elle valait presque 15 milliards de dollars (13,4 mds EUR). Pendant plusieurs années, Ultra était un symbole du succès ...

Hess storage facility in North Dakota leaks 32K gallons

15.06.16. - 

A Hess crude oil storage facility in North Dakota leaked about 32K gallons of saltwater yesterday, but the spill was contained and recovered on the location, state regulators say.

A transfer pump failed at a tank battery in Mountrail County in the state's northwest corner, causing storage tanks to overflow.


isa77_Jouarre's insight:

Une pompe en panne et hop, une petite fuite d'eau salée, c'est ce que dit Hess Oil. C'est ballot!



See it on Scoop.it, via schiste, huile, gaz et fracturation

Gaz de couche dans le Valenciennois : pas pour tout de suite


05.06.16 - Gaz de mine ? Gaz de couche ? Sous nos pieds, l’ancien grisou des mines de charbon peut encore s’avérer rentable. Et la société Gazonor a des projets pour en tirer parti.

 

Le « permis du Valenciennois », c’est quoi ?

Depuis 2009, l’entreprise Gazonor est détentrice du « permis du Valenciennois » octroyé par l’État. Cela lui donne un permis exclusif de recherches de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux durant cinq ans. Ce qui intéresse cette société basée à Avion, dans le Pas-de-Calais, c’est le gaz contenu dans les anciennes veines de charbon. Du gaz de mine, le célèbre grisou redouté des mineurs. Ce « permis » couvre un large territoire, grosso modo tout l’arrondissement, jusqu’à la frontière belge, soit plus de 430 km2.

 

Gazonor a demandé la reconduction de ses permis en juin 2014. Une reconduction avec cependant une modification puisqu’elle a exprimé le vœu d’obtenir une prolongation exceptionnelle pour une durée de trois ans ou le renouvellement pour une durée de cinq ans de ce permis. Le ministère de l’Environnement n’a jamais répondu à cette demande. Il faut dire qu’un fait nouveau est venu troubler la procédure quand des élus locaux ont découvert que Gazonor ne souhaitait pas juste renouveler le contrat d’exploitation du gaz de mine, mais aussi « mettre en place de nouveaux sondages d’accès au gisement ou des sondages pour extraire du gaz de couche ». Le sujet est désormais entre les mains du conseil d’État 

 

Gaz de mine ou gaz de couche ?

Schématiquement, le gaz de mine est présent « naturellement » dans les anciens puits. Il est assez simple d’aller le chercher. En revanche, le gaz de couche se trouve dans des veines de charbon non exploitées. Pour les associations environnementales, les techniques pour aller le récupérer sont différentes et présenteraient des risques. « Forer dans des terrains exploités par les houillères donc très instables présente un risque sismique important, analyse ce membre valenciennois du collectif Houille Ouille Ouille, sous couvert d’anonymat. Des tremblements de terre à petite échelle qui peuvent faire fissurer les maisons. Il y a aussi les gaz à effet de serre. » Ce militant pointe du doigt également des risques pour la nappe phréatique.

Faux, avance Nicolas Ricquart, le directeur de Gazonor. « Plusieurs forages ont été réalisés en Lorraine et il n’y a pas eu de drames techniques ou environnementaux. Ceux qui pourraient se faire dans le Nord - Pas-de-Calais sont les mêmes que ceux faits par les charbonnages. » Et d’affirmer que des techniques qui ont fait couler beaucoup d’encre, comme la fracturation hydraulique, ne seront pas utilisées. De toute façon, affirme Nicolas Ricquart, même si Gazonor obtient la reconduction du « permis du Valenciennois », « nous n’avons pas de projets de gaz de couche dans le Nord - Pas-de-Calais. Pour les deux ou trois prochaines années, nous sommes pris par l’électricité (lire par ailleurs). »

De l’électricité produite à Lourches en 2017

D’après Nicolas Ricquart, si Gazonor n’a pour l’heure pas la tête au gaz de couche, c’est qu’elle s’est lancée dans un autre dossier : celui de l’électricité. « Un décret publié vendredi donne des conditions de rémunération sur la production d’électricité avec du gaz de mine. On va enfin avoir l’autorisation. C’est une très bonne nouvelle pour nos projets. » L’idée :transformer le gaz de mine en électricité.

Outre Avion et Divion, le site de Lourches est ainsi concerné et pourrait générer 1,5 mégawatt d’énergie d’ici à la fin 2017. Une à deux autres « installations nomades » pourraient aussi voir le jour ailleurs dans le Valenciennois. Des sortes de puits d’extraction éphémères (entre trois et cinq ans) et itinérants qui seraient installés sur « d’anciens puits de mine avec des tubulures existantes ». Des études détermineront les secteurs les plus productifs.

Les projets de Gazonor devant le conseil d’État

La ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la mer n’a guère apprécié l’ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de Lille, qui le 22 mars dernier, a suspendu le rejet implicite de la demande de la société Gazonor. Le ministère a même été sommé d’émettre une décision claire sur cette demande, dans les quinze jours suivant l’ordonnance, sous peine d’une astreinte quotidienne de 5000 euros/jour. C’est dans l’espoir de casser cette ordonnance Lilloise, que le ministère a déposé un pourvoi devant le conseil d’État.

La société Gazonor, détentrice depuis 2009 et pour cinq années, d’un permis exclusif de recherches de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux, a donc demandé sa reconduction en juin 2014. Une reconduction avec cependant une modification du permis puisque Gazonor a exprimé le vœu d’obtenir une prolongation exceptionnelle pour une durée de trois ans ou le renouvellement pour une durée de cinq ans de ce permis dit « permis du Valenciennois ». Le ministère de l’Environnement n’a jamais répondu à cette demande. Il faut dire qu’un fait nouveau est venu troubler la procédure quand des élus locaux ont découvert que Gazonor ne souhaitait pas juste renouveler le contrat d’exploitation du gaz de mine, mais aussi « mettre en place de nouveaux sondages d’accès au gisement ou des sondages pour extraire du gaz de couche ». Ces techniques permettant l’exploration et l’exploitation de ce combustible, aussi appelé gaz de houille, n’ont rien à voir avec celles pratiquées pour recueillir le gaz de mine.

Pour les magistrats de Lille, cette modification potentielle du cahier des charges ne justifie en rien le silence du ministère de l’Environnement, qui traduit une décision implicite de refus de la demande Gazonor.

Hier à Paris, le rapporteur public a confirmé cette lecture du droit. « La demande a été déposée dans les délais requis. L’absence de réponse du ministère au-delà du délai légal de 15 mois s’apparente donc bien à une décision implicite de refus. » Dénonçant «l’absence de motifs d’intérêt général émis par la ministre », le magistrat parisien a confirmé le « besoin urgent d’une décision explicite, l’entreprise ne disposant plus de sécurité juridique pour exploiter le site. » Confirmant l’analyse du juge des référés du tribunal administratif de Lille, le rapporteur public a demandé le rejet du pourvoi du ministère de l’Environnement, qui serait donc sommé de fournir rapidement des arguments à Gazonor. Décision dans les prochaines semaines.



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Le ministère de l’Environnement sommé de répondre à Gazonor


13.06.16. - Jeudi dernier, le Conseil d’État a rejeté le pourvoi en cassation du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer dans le contentieux l’opposant à la société Gazonor.

Depuis juin 2014, Gazonor tente d’obtenir auprès du ministère de l’Environnement une prolongation de trois ans de son permis de recherche d’hydrocarbures dans le Valenciennois. Cet allongement de durée devait permettre à l’entreprise de « mettre en place de nouveaux sondages d’accès au gisement ou des sondages pour extraire du gaz de couche ». Sauf que depuis, le ministère fait la sourde oreille et n’a toujours pas répondu aux dirigeants. « Nous n’avons pas de projets de gaz de couche dans la région, nous sommes pris par l’électricité. » Gazonor avait donc déposé un référé devant le tribunal administratif en juillet 2015, qui lui ont donné raison en mars. « La CGEDD et la CGIET, les instances sur l’hydrocarbure en France, ont montré que le permis de Valenciennes ne posait aucun problème, explique Nicolas Ricquart, directeur de Gazonor. La ministre avait deux mois pour signer la prolongation et ça n’a pas été fait. » Le ministère a depuis déposé un pourvoi en cassation, en expliquant que le dossier n’avait rien d’urgent. Un motif jugé irrecevable par le Conseil d’État, qui avance que les sommes engagées par l’entreprise caractérisent l’urgence, et engage donc le ministère à répondre à Gazonor. « Avec cette nouvelle décision en notre faveur, on a bon espoir qu’on nous délivre rapidement la prolongation du permis », a commenté Nicolas Ricquart.


isa77_Jouarre's insight:

Un peu confus, un peu touffu. Essayons d'y comprendre quelque chose:

Mais on peut comprendre que le Ministère de l'Environnement n'a pas signé la prolongation du permis de recherche du Valenciennois.

On peut comprendre aussi que Gazonor, son détenteur, est allé devant le TA pour obtenir une justification du refus implicite (absence de signature dans le délai de 15 mois vaut refus implicite). 

On peut comprendre que le TA avait demandé à la ministre de justifier son refus implicite et avait deux mois pour le faire.

On peut comprendre que rien n'a été fait dans ce délai.

On peut comprendre que le ministère a déposé un pourvoi en cassation. [ce type de pourvoi est géré par le Conseil d'Etat lorsque que l'Etat est partie prenante]

Et enfin on apprend que le Conseil d'Etat a considéré que le motif invoqué par le ministère était irrecevable. 

Le ministère doit donc maintenant expliciter le refus implicite de prolongation du permis du Valenciennois. 

 

 



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