Projection-débat L’eau qui nous fait vivre, Film documentaire d’Elif Karakartal, 68 min, Pérou/France.
A 3500 mètres d’altitude dans les montagnes du sud du Pérou, les habitants de la communauté d’Andamarca gèrent collectivement l’eau pour l'irrigation. Ce droit est garanti pour tous à condition d'en accepter les règles fixées par la communauté. Chacun à son tour, les habitants participent à l'exercice du pouvoir. Au travers d’un portrait vivant de ce village, le documentaire « L’eau qui nous fait vivre » d’Elif Karakartal nous montre comment la gestion locale de l’eau peut cesser d´être une question purement technique pour en venir à signifier un équilibre qui est non seulement source de vie mais aussi de société car l’eau structure l’ensemble des relations humaines de ce micro univers. Privée du sens unificateur que sous-tend cette gestion collective, la communauté se transformerait en un lieu sans vie. « Pourquoi veulent-ils nous privatiser si nous ne sommes pas en train de mourir ? », demande un des responsables quand les rumeurs de privatisation de l'eau se font entendre.
Sans aucune concertation avec les citoyens et les élus, des permis d’exploration ont été délivrés à des sociétés qui s’apprêtent à extraire le pétrole de schiste en utilisant la technique de fracturation hydraulique. Les permis déjà attribués et les demandes en cours d’instruction couvrent 80% de la Seine-et-Marne. Le « château d’eau » du bassin parisien est en danger.Lire la suite
Desde Septiembre del presente año, las poblaciones del Bajo Sinú se encuentran inundadas. 10.000 familias de los municipios de Lórica, Purísima. Cotorra, Momil, Chimá y San Bernardo del Viento, han sido afectadas, sus viviendas y cultivos están anegados. En esta Cuenca hace presencia la Asociación de productores para el desarrollo comunitario de la Ciénaga Grande del Bajo Sinú, ASPROCIG, reconocida por sus luchas en defensa del territorio frente a las megaproyectos hidroeléctricos, agroindustriales, de plantaciones forestales y de camaroneras y la construcción de una propuesta agroecológica que construye soberanía alimentaria.
La lettre ouverte que vous trouverez ci-dessous est adressée aux représentants des gouvernements qui participeront à la Conférence des Parties à la Convention sur les changements climatiques. Cette conférence aura lieu à Cancún, au Mexique, du 29 novembre au 10 décembre.
Si vous êtes d'accord avec son contenu, nous vous invitons à la signer. De même, nous vous exhortons à lui donner la plus large diffusion en l'adressant à vos relations (par courrier électronique, page web, etc.), en y incluant aussi bien les organisations de la société civile que les fonctionnaires gouvernementaux, les représentants des partis politiques et les médias en général. En un mot, vous pouvez en disposer à votre gré.
Impactos del extractivismo serán examinados en el Foro de los Pueblos Indígenas Minería, Cambio Climático y Buen Vivir.
Más de la mitad del territorio del departamento del Cauca, Colombia, está a punto de ser entregada a grandes transnacionales mineras, en un país donde hay ya cerca de 209,631 hectáreas de reserva natural en las cuales se realiza explotación minera. Este será uno de los temas que analizará el Foro de los Pueblos Indígenas Minería, Cambio Climático y Buen Vivir, a realizarse en el Museo de la Nación de Lima, Perú, del 18 al 20 de noviembre de este año.
El 26 de octubre de 2010 casi 300 personas se expresaron en la Audiencia Pública sobre el proyecto de Minera San Jorge (185 del valle de Uspallata, más 100 del resto de la provincia). En primer lugar, es necesario resaltar la importancia de esta instancia del procedimiento de Evaluación de Impacto Ambiental, que se ha constituido en una significativa experiencia democrática; que marcó un hecho político de primera magnitud en la provincia, relevante inclusive a nivel nacional; y que dejó explícita la necesidad de la población uspallatina y mendocina de expresar su opinión sobre este proyecto en particular, y sobre la megaminería en general.
El 75% de esas voces fueron de rechazo al proyecto.