A terme, la ville est vouée à disparaître ou, plus exactement, à être déplacée, elle et ses 80 000 habitants, à une vingtaine de kilomètre plus loin (ou plus, car plusieurs projets de « relocalisation » ont été élaborés depuis 1971). Déjà, il ne reste quasiment plus rien du centre historique de Cerro de Pasco, « ville opulente » et « ville minière », comme on peut le lire sur son blason. Une partie des habitants du centre ont migré dans la ville nouvelle, San Juan Pampa, située un peu en amont de la mine, qui, depuis, s’est rapprochée dangereusement.
Le cas Conga a été présenté ce vendredi 9 novembre devant le Tribunal Internacional del Agua à Buenos Aires. Voici le lien vers l'audio de la présentation par Grufides et la Plataforma Interinstitucional de Celendin. On attend le verdict.
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