Lorsque nous nous sommes adressés à des instances scientifiques neutres pour connaître les impacts potentiels de l’extraction sur nos vies, elles nous ont expliqué que la destruction serait irréparable, pour ce qui concerne tant les écosystèmes que l’économie de la région.
Lorsque nous avons saisi les tribunaux compétents, ceux-ci n’ont procédé qu’au contrôle de la légalité des permis d’extraction, sans statuer sur le fond et, donc, sur la destruction.
Le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin, a indiqué tôt ce matin jeudi 28 novembre à Reporterre qu’il avait décidé "de refuser de signer la mutation à Hess Oil des sept permis d’Ile-de-France". Cette décision sera détaillée dans un entretien avec le journal le Parisien à paraître ce jour.
“Hija de la laguna” : le combat d’une Péruvienne exalte le paysven, 07/08/2015 - 23:00 — J.D. |