Loin des appréhensions environnementales provoquant une contestation qui dure depuis 45 jours à In Salah, au sud du pays, ainsi que des tentatives de réassurance de la part du gouvernement, l’exploitation du gaz de schiste n’est pas "une priorité" économique pour l’Algérie, selon Issad Rebrab.
Pour le patron du groupe Cévital, l’Etat s’est concentré uniquement sur "la richesse très simple à tirer du sous-sol algérien, alors qu’il y a des centaines de richesses qu’on peut créer".
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